2 décembre 2004
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Lorsque mon tour arrive, je réussis par miracle à retirer chaussures et chiffons sans perdre ni les uns ni les autres, sans me faire voler ma gamelle ni mes gants, sans perdre l'équilibre et sans cesser de tenir bien serré dans ma main le calot qu'il est formellement interdit de porter sur la tête quand on entre dans la baraque.